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Pour aider son peuple à avoir un pouvoir d’achat décent, le gouvernement possède de nombreux atouts dans sa manche. Outre la CAF et l’URSSAF, le pouvoir exécutif possède aussi les allocations chômage au sein de l’Unédic. Pour ce dernier, voici les paramètres pris en compte dans la revalorisation ! Restez concentré !
Les allocations chômage sont sujettes à une nouvelle hausse !
Le conseil d’administration de l’Unédic a pris sa décision le 24 mars 2023 ! La situation actuelle exige des solutions durables, surtout en faveur des plus démunis. Ainsi, la revalorisation des allocations chômage a été adoptée à l’unanimité. Voilà qui devrait ravir la plupart des ménages !
À partir du 1er avril 2023, les familles ont reçu une bonne nouvelle concernant leurs finances. En effet, les allocations chômage ont constaté une élévation d’environ 1,9%. Cette mesure entre dans l’objectif actuel du gouvernement, qui est de maîtriser l’inflation avant que la situation n’empire.
Pour couronner le tout, cet accroissement des allocations chômage se fait de manière indépendante. En termes clairs, cela n’a rien à voir avec l’augmentation programmée à partir du 1er juillet 2023. Toutefois, on ne connaît pas encore le taux d’augmentation prévu pour juillet prochain. À lire Son chéri ne voulait pas payer 11 € de plus pour s’asseoir avec elle dans l’avion, elle s’est mise en colère
Le moins qu’on puisse dire, c’est que ce coup de pouce financier tombe à pic ! De nombreux ménages n’arrivent plus à joindre les deux bouts, tellement le coût de la vie est élevé. Espérons que cette somme distribuée par Pôle emploi puisse constituer une solution durable.
Quels sont les éléments qu’il faut considérer ?
Les primes fournies par les allocations chômage s’élèvent habituellement à environ 1 006 euros. L’augmentation de 1,9% pour avril 2023 devrait alors correspondre à environ 19 euros par mois. Néanmoins, il faut bien comprendre comment cette hausse fonctionne afin d’éviter toute mauvaise surprise.
Les allocations chômage dépendent de l’ARE-F, de l’ARE et de l’allocation chômage minimale. Cette dernière est actuellement de 31 euros par jour. La partie fixe de l’allocation d’aide au retour à l’emploi s’élève maintenant à 12,71 euros par jour indemnisé. Ce taux est fixé à approximativement 40,4% de la rémunération.
Le seuil minimal pour l’ARE-F est actuellement porté à 22,19 euros. Pour finir, le plancher relatif portant sur le coefficient de dégressivité s’élève maintenant à environ 89,32 euros. On peut constater grâce à ces chiffres que les conditions d’obtention de la hausse ne sont pas trop sévères.
Au contraire, le gouvernement semble être assez tolérant par rapport aux allocations chômage. Il ne reste plus qu’à déterminer le niveau d’incidence de cette nouvelle stratégie. Dans tous les cas, il est utile de se renseigner auprès des instances administratives. De cette manière, chaque concerné peut avoir une idée précise de sa situation financière. À lire Action, c’est bientôt la fin ? Ce concurrent arrive en France, les villes concernées
Les allocations chômage sont-elles efficaces face à l’inflation ?
C’est la question que tout le monde se pose ! Mais pour l’heure, il est encore trop tôt pour tirer une conclusion. On peut quand même réaliser un léger bilan en évoquant cette aide gouvernementale. La revalorisation adoptée en avril 2023 a eu une incidence significative sur la plupart des chercheurs d’emploi.
D’après les chiffres obtenus, environ 88% des chercheurs d’emploi bénéficient de ces allocations chômage. Ce chiffre correspond à au moins 2 millions de personnes. La prochaine action du pouvoir exécutif devrait alors se diriger vers le marché du travail pour combler cette lacune.
