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Cette histoire n’est pas une fiction, mais des faits réels ! Au lieu de régler la somme adéquate, cette cliente du supermarché a payé environ 30 euros. Comment y est-elle arrivée ? A-t-elle des complices au sein du magasin ? Voici comment cela s’est passé !
Le supermarché a été victime d’une arnaque bien élaborée !
Cette caissière d’un supermarché a eu une idée de génie ! Tout se passe à Thionville, le 31 décembre 2020. Elle était de service dans un magasin Carrefour. Mais elle avait un autre plan en tête. Pour réaliser son arnaque, elle a bénéficié de l’aide de ses sœurs.
Avant de passer à l’arnaque à proprement dit, il est nécessaire d’expliciter cette nouvelle politique du supermarché. Afin de faciliter l’achat, les clients scannent eux-mêmes les produits qu’ils veulent acquérir. Ainsi, l’enseigne évite les longues files d’attente au moment de passer à la caisse.
Elles étaient trois à élaborer ce mode opératoire très bien pensé. Les deux sœurs vont aux rayons afin de prendre ce dont elles ont besoin. Pourtant, elles ne scannent que ce qui est peu onéreux parmi leur liste de courses. À lire Elle fait ses courses au supermarché et paye 1 € au lieu de 1 040 €, sa ruse redoutable
Mine de rien, les deux jeunes filles passent à la caisse où leur sœur travaille. Cette dernière, comme si de rien n’était, ne facture que ce que ses complices lui présente. Le montant s’élève à 30 euros, pourtant le caddie est rempli à ras bord à la sortie du supermarché !
Les employés de l’enseigne remarquent l’anomalie !
Le quotidien Le Progrès a suivi cette affaire de près. D’après ce magazine, les deux personnes auraient dû régler au moins 2 900 euros envers le supermarché !
Là, il ne s’agit pas d’une simple astuce, mais d’une véritable arnaque ! Toutefois, cela a pris fin le jour-même.
Les vigiles ont remarqué l’anomalie au moment de passer à la caisse. En effet, toute personne ayant un minimum de sens de l’observation serait tiquée par ce qui s’est passé. Le montant réglé à la caisse est presque infinitésimal par rapport à la somme réelle.
Ainsi, les vigiles ont interrogé les deux sœurs avant qu’elles ne puissent entrer dans leur voiture. Prises de panique, les jeunes femmes n’ont eu d’autre choix que d’avouer la vérité. S’ensuit des poursuites juridiques venant du propriétaire du supermarché. À lire Cette brioche ne doit surtout pas être achetée au supermarché, c’est la pire de toutes selon une nutritionniste
La caissière s’est expliquée en disant : « Ce sont mes sœurs qui en ont eu l’idée, a-t-elle expliquée. Au début, je ne voulais pas. Puis j’ai fini par céder pour des produits alimentaires uniquement ». Elle écope alors de 70 heures de travaux d’intérêt général.
Le supermarché obtient gain de cause !
L’avocate de la caissière a fait ce qu’elle a pu pour la défendre. D’après ses termes : « C’est une famille qui se trouve dans une situation de grandes difficultés financières.
Son contrat se terminait. Elle s’est laissé entraîner dans cette situation qu’elle n’a pas été en mesure de stopper ».
Après de longues explications, le juge a finalement tranché en faveur du supermarché. Selon ses dires : « Sur les 2 900,75 € de marchandises, il n’y avait que 300€ de denrées alimentaires ». Les trois sœurs ne peuvent donc pas tout mettre sur le dos de leurs difficultés financières.
