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La déclaration d’impôts est souvent le principal souci de tous les foyers. Il faut dire qu’en cas de retard, les sanctions qui s’ensuivent sont la source d’une perte significative. Pourtant, certains avantages fiscaux sont également disponibles en faveur de tout un chacun. Découvrez ici 5 prérogatives que les français oublient souvent !
Déclaration d’impôts : La date butoir arrive à grands pas !
À partir de ce 13 avril, tous les ménages doivent remplir leur fiche personnelle relative aux impôts. Comme chaque année, la déclaration se fait uniquement en ligne. Toutefois, il existe certains cas particuliers concernant les familles qui ne disposent pas d’Internet chez elles.
Après avoir livré la déclaration en question, il faut ensuite fournir certaines informations complémentaires. Passé cette étape, le ménage peut finalement se réjouir. En effet, il n’a plus qu’à attendre et évaluer le montant réel de ses impôts. Toutefois, les autorités ont mis en place une organisation spécifique.
Pour les départements 1 à 19, la date limite sera le 25 mai 2023. Il en est de même pour ceux qui ne résident pas dans l’Hexagone. Les départements 20 à 54 doivent fournir les informations nécessaires avant le 1er juin. Bien évidemment, ceux qui résident ailleurs ont jusqu’au 8 juin pour remplir leur déclaration. À lire 9 conseils pour réduire le montant de votre déclaration d’impôts sur le revenu
Une fois que la déclaration d’impôts est correctement remplie, il faut maintenant passer à la vérification. De nombreux foyers négligent cette étape. Pourtant, elle peut leur fournir une précieuse aide face au coût de la vie.
Ces détails entrent en ligne de compte dans l’exonération de certaines taxes !
Avant toute chose, il faut savoir qu’un éventuel retard provoque de lourdes conséquences. Dans le meilleur des cas, les impôts augmentent d’environ 10%. Mais ce taux peut s’élever à 80% au cas où l’administration fiscale constate d’éventuelles fraudes.
D’autre part, les impôts diminuent de manière significative si le concerné a un enfant. Voici les conditions requises : « Si l’enfant majeur vit sous votre toit durant toute l’année et ne dispose pas de ressources suffisantes, vous pouvez déduire une somme forfaitaire par enfant ».
Par ailleurs, la réduction des impôts est loin d’être négligeable ! Toujours selon le site impots.gouv.fr, il s’agit de : « 3 592 € pour 2021, 3 592 € x 2 lorsque l’enfant est marié ou pacsé ». De plus, cette procédure ne requiert aucune justification officielle à part le remplissage du formulaire.
Dans une toute autre optique, il est également possible de jouer sur le quotient familial. En effet, un enfant pénalement majeur (idéalement moins de 25 ans) contribue à diviser les charges du foyer fiscal. De cette manière, les revenus des parents les taxes diminuent d’un cran ! À lire Impôts : voici tous les avantages fiscaux que vous oubliez souvent de réclamer
Le montant des impôts dépend de votre cadre de vie !
Le dernier paramètre permettant de réduire les impôts concerne la résidence principale. Pour ce faire, il faut d’abord envisager de réaliser des travaux de réaménagement au sein du logement. De nombreuses aides financières sont disponibles pour arriver à cet objectif.
De plus, la réduction des taxes est accentuée au cas où le concerné coche la case « T » dans sa déclaration. La situation matrimoniale, surtout le divorce, diminue aussi le montant des taxes. En effet, la prestation compensatoire comble ces dernières.